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5 ans de défis pour la stabilité de l’école

Le scrutin de dimanche dernier a livré ses chiffres et son verdict. Ce qui met fin au débat et à la contestation politique. Pendant plus d’un mois, tous les secteurs étaient au ralenti. C’était le diktat des acteurs et mouvements politiques.

Maintenant, finie la quête de l’électorat. Dans les isoloirs, les citoyens ont choisi leur leader pour cinq ans.

Réélu le Président de la République Macky Sall a devant lui plusieurs chantiers dont l’éducation et la formation. Sur ce plan, son premier mandat n’était pas exempt de tout reproche. Les inspecteurs, les enseignants, les étudiants public et du privé se sont plusieurs fois plaints de leurs conditions de travail.

D’ores et déjà, il a un quinquennat pour redresser la barre et assurer un enseignement de qualité, avec moins de perturbations.

Parmi les projets phares, il y a l’élargissement de la carte scolaire par la construction de nouveaux lycées à Grand Yoff, à Guédiawaye et dans les régions ainsi que la réhabilitation des Lycées Lamine Guèye, Maurice De la Fosse, Galandou Diouf, Abdoulaye Sadji.

Un autre défi se présente également devant lui, celui de la gestion des boursiers et le paiement des allocations d’études à temps, comme cela a été le cas ces trois derniers mois. Les virements effectués très tôt ont montré que tout est question de volonté.

Le régime a en place va également devoir s’investir pour la stabilité du système éducatif. Afin d’éviter des mois de grève qui perturbent le calendrier scolaire.

Les autorités en charge de ce secteur sont obligées de gérer avec responsabilité et efficacité les revendications des étudiants et les préoccupations des apprenants. Pour un bon déroulement des enseignements. Et dans de bonnes conditions

 

 

 

 

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