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Mouhamadou Falilou Dioum , auteur du roman « ma fille » sur la crise scolaire

Personne ne doute que le système éducatif sénégalais est aujourd’hui malade. Si de la primaire à la terminale, le bon sens ne peut qu’accuser l’Etat et les enseignants de ce désastre. En ce qui concerne l’Université, la responsabilité est partagée entre les trois protagonistes c’est-à-dire l’Etat, les professeurs et les étudiants. Je développe cette idée un peu plus dans le roman.

L’analyse est plus complexe dans le cas de la société sénégalaise car la comparaison devient un peu moins évidente. En effet, l’on tombe facilement dans le piège de la comparer avec la société occidentale, ou arabe ou asiatique.  L’analyse doit être transversale et non comparative. Nous devons décider, de nous-même, par nous-même, d’exterminer (oui exterminer) toutes les incohérences de notre société sans que cette décision ne soit influencée par autrui. Là également, vous trouverez mon regard détaillé sur la société dans le roman

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