Voila depuis des années que L’Université Cheikh Anta DIOP vit un véritable calvaire d’indignation et de remouds, en effet le syndicat autonome de l’enseignement supérieur (SAES) continu de crier son rall-bol et déplore leurs mauvaises conditions de travaille notamment dans les amphis théâtres , les facultés etc… Cependant les enseignants du supérieur fustigent et dénoncent le mutisme et l’incompétence des autorités académiques face a leurs situation.
c’est le même son de cloche qui persiste également à l’Université ASSANE SECK de Zinguenchor et l’Universalité Gaston Berger de ST louis les enseignants tirent à boulet rouge et déversent leurs courroux à l’égard du ministre de l’Enseignement supérieur Mary Teuw Niane. En outre le torchon brûle toujours entre le SAES et les autorités car depuis deux ans les négociations n’avancent pas ces derniers exigent leurs droit à la retraite et leurs prime que doivent payer l’Etat. Rappelons que le SAES a décide d’organiser des sit-in , des débrayages et d’autres marches pacifiques pour permettre aux autorités de réagir dans les plus brefs délais. L’université Cheikh Anta Diop est une référence en Afrique car depuis sa création en 1957 elle a formé des milliers de cadres venus un peu partout sur le continent africain , cette université devrait être crédible, efficace et surtout le pragmatisme à travers.
CHEIKHOU SAKHO JOURNALISTE
Le contenu du présent article est une contribution. Le contributeur s’engage à ce que son contenu ne comporte aucun élément susceptible de violer les droits des tiers ou de donner de fausses informations ou toute violation des lois en vigueur. Les contributions signées représentent exclusivement l’opinion de son auteur. Le Groupe Info Etudes n’est en aucun cas responsable sur les contributions des utilisateurs ou l’utilisateurs des informations fournies par ces derniers. Toutefois, le Groupe se réserve le droit de supprimer, sans informer l’auteur, tout contenu non conforme aux principes et objectifs du Groupe.