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La Fondation Airbus et The Little Engineer s’engagent dans la formation des jeunes à la robotique

La Fondation Airbus et  The Little Engineer veulent initier  des milliers de jeunes de 10 à 16 ans, des pays d’Afrique, dans les domaines des sciences, des technologies, de l’ingénierie , de la robotique et des mathématiques .
La Fondation Airbus et son partenaire The Little Engineer étendent leur programme de robotique Airbus Little Engineer (Ale) à l’Afrique. Cette initiative entend former des milliers d’élèves âgés de 10 à 16 ans dans le domaine des sciences, des technologies, de l’ingénierie et des mathématiques (Stim), selon un communiqué de presse de la Fondation AirbusInitiation à la robotique : La Fondation Airbus étend son programme à des milliers de jeunes africains

Selon le communiqué,  le programme vise à soutenir les efforts des pays africains .«L’objectif est d’inciter les jeunes à comprendre et à aimer la technologie ainsi que d’éveiller des passions susceptibles de conduire à d’intéressantes carrières dans les Stim », précise la fondation Airbus. selon elle, l’éducation et la formation sont indispensables pour développer une main d’œuvre compétente et qualifiée et stimuler l’innovation.

Ledit communiqué note que « depuis son lancement en 2012, le programme Ale s’est imposé comme un vecteur efficace d’apprentissage par découverte, cherchant à former et à responsabiliser les jeunes dans le domaine des sciences et des technologies par le biais de la robotique et de l’aérospatial ». À ce jour, révèle-t-on, plus de 3 000 élèves ont participé au programme. «L’Afrique a développé une « culture de l’innovation » qui gagne rapidement du terrain avec l’apparition de nombreuses entreprises sociales et organisations locales à but non lucratif. Nous souhaitons les soutenir et collaborer avec elles », a déclaré Andrea Debbane, directrice exécutive de la Fondation Airbus. « Il est important que nous unissions nos efforts pour faciliter l’accès aux Stim. Ces compétences jouent un rôle majeur car les emplois liés aux sciences, aux technologies, à l’ingénierie et aux mathématiques contribueront à résoudre les problèmes complexes d’aujourd’hui et de demain », a-t-elle ajouté.

Au Sénégal,  la robotique gagne petit à petit  du terrain surtout avec les ateliers du club robotech de l’Ecole Supérieure Polytechnique

Article a lire:  Brahim Oguelemi, plume alerte

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